Le ministre Jean de Dieu Momo a fait une publication ce lundi 06 juillet dans sa page Facebook , comme à l’accoutumée il critique les actions politiques du Président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun Maurice Kamto .Selon le ministre ce dernier a fécondé la haine contre les Bamilékés .
Voici le post intégral de Jean de Dieu Momo .
Quel gâchis! L’image ci-dessous illustre parfaitement l’héritage funeste que Monsieur Maurice Kamto et Patrice Nganang ont laissé dans ce pays qu’ils ont réussi à diviser par la parole et les actes. Aujourd’hui le Cameroun part en lambeaux sous nos yeux. Depuis le « concours Bulu» et « les armes contre les Bulu » chaque communauté, en légitime défense fourbi ses armes pour une guerre contre l’autre. On assiste impuissant à des regroupements communautaires et aux revendications d’un fédéralisme dit communautaire. Dans le Moungo on se prépare à chasser les Bamileke après le président BIYA accusé de les protéger, pour reprendre les terres qu’ils occupent. Dans le centre, le sud et l’Est la communauté Ekang s’organise pour faire face à l’envahisseur Bamileke devenu violent et agressif. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité en effet, des camerounais ont envahi et saccagé leur propres Ambassades en Europe! Ces gansters sont toujours en liberté et continuent leur arrogance. Ils se recrutement majoritairement dans la communauté Bamileke! Est-ce que le prophète n’avait pas averti cette escalade dangereuse dans une émission à actualité Hebdo le 3 février 2019? (Les partisans du chaos ont préféré déformer mes propos pour masquer leur entreprise criminelle contre l’humanité). Des jours sombres s’annoncent pour le Cameroun et surtout pour la communauté Bamileke. A cause de Maurice Kamto et de ses partisans. Le seul résultat qu’il a obtenu est d’avoir réussi à nous diviser davantage et d’exposer la communauté Bamileke dans une guerre de tous contre elle! Et il ne s’en rend même pas compte. Il continue sa croisade meurtrière! Quel gâchis!#Momojeandedieu #Jddm Momo #Fo’o Dzakeutonpoug
