En dépit de la note prise par le ministre de l’administration territoriale Paul Atanga Nji interdisant la commercialisation et la consommation de la chicha sur l’ensemble du territoire Camerounais , force est de constater que les vendeurs de chichas ont botté en touche l’arrêté ministériel .
Thank you for reading this post, don't forget to subscribe!Quelques mois après cette note du ministre , nous avons parcouru quelques endroits où la commercialisation de cette chicha se fait librement .
Nous marquons notre premier arrêt ce 09 mai à la mobile Essos , à la cheminée , une structure qui commercialise ce produit toxique , des jeunes sous un air de musique nigériane savourent le naguirlé , ils inhalent et rejettent la fumée toxique .Les principaux clients sont les jeunes dont l’âge varient entre 18 et 25 ans , sans se soucier de leur santé , ils se trémoussent devant leur chichas au grand bonheur des serveurs .
Approché , ils refusent de répondre à nos clients .
Même constat au quartier bastos , au Black and White où la commercialisation se produit .
Au quartier Briqueterie , épicentre de la vente du naguirlé , les commerçants viennent se ravitailler afin de vendre à leurs clients .
En guise de rappel , selon les spécialistes de la santé , la fumée de la chicha équivaut à 70 cigarettes .